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12 avril 2009

Il était une fois ……

Il était une fois …….

Le chat danseur

Il était une fois un chat qui sautait la rue avec joie et fière allure avec sa cane et son chapeau.

Ce chat ne fût pas comme les autres, il savait danser et son rêve était d’aller à l’opéra.

Alors il partit pour Paris où la ville était loin de son lieu.

Le chat prit la décision qu’il était temps de parti laissant derrière lui ses souvenirs, ses amis, sa demeure.

En chemin, il eut plein d’aventures et de rencontres merveilleuses, avec des souris, des lapins,  des renards, et bien d’autres encore.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre soudainement, ainsi le chat danseur tout tremblant eut peur jusqu’aux moustaches. Ce bruit était un orage violent …. Le chat danseur tout mouillé, effrayé prit son courage pour courir et courir.

Soudain, une merveilleuse créature apparut devant lui. Le chat danseur s’arrêta. Elle sortit comme une magicienne amener le chat danseur à l’opéra des rats.

Cette rencontre inespérée mit le chat danseur dans une joie immense, de pouvoir danser devant tout le monde .

Tout est bien qui finit bien …..

Il était une fois un chat qui tombait dans la salle. Sa chute l’expédia en plein dans le saladier de punch qui était posé sur la table du banquet.

Terrorisé par ce qui venait de lui arriver, il bondit du saladier, qu’il renversa sur les invités.

Ceux-ci émettaient des cris de surprise, ce qui incita le chat à les attaquer.

L’un d’entre eux fût griffé au visage, l’autre eut sa chemise rose complètement déchiquetée, et une femme, qui portait une petite robe à bretelles, se retrouva avec sa tenue en bas des genoux.

Ce fut la cohue et, en même temps, on entendait des gens éclater de rire au vu de ce qui se passait.

Il fallait se mettre en quête du félin, afin de le rassurer, car plus les bruits étaient forts, plus le chat paniqué créait des dégâts ; il saccagea les buffets exposés, il s’accrocha aux nappes faisant renverser toute la vaisselle.

Au loin, il aperçut la pyramide des coupes de champagne sur laquelle il se précipita. Un convive ayant compris son intention, courut jusqu’à la pyramide, le sol était tellement glissant qu’il se vit propulsé sur la pyramide.

Les verres plein de liquide volaient dans tous les sens avant de se vider et venir s’écraser au sol.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre, c’était une poutre du plafond, qui menait jusqu’au toit, qui lâcha prise.

Le minou saisit cette occasion pour s’enfuir en laissant derrière lui une salle sans dessus dessous.

Après cette incroyable épopée, chacun des invités mit du sien afin de remettre le local en état.

C’est alors qu’une merveilleuse créature apparût, c’était une fée.

D’un coup de baguette magique, elle fit apparaître de magnifiques décorations et des mets dont les saveurs venaient de différents pays du monde, une cascade de cocktails aux mille et une couleur.

C’était beau et vraiment inespéré, la fée inspirée d’une forêt tropicale, fit apparaître des lierres qui recouvraient la salle, sur lesquels étaient accrochés des fleurs exotiques, rouges, jaunes, bleues, puis des perroquets venaient déposer, autour du cou des convives, des couronnes de fleurs.

C’était un arc-en-ciel de couleurs et de parfums odorants.

Les invités émerveillés reprirent les festivités, et tout est bien qui finit bien.

La moquerie et le plaisir des yeux

Il était une fois une boite qui grimpait sur le toit.

J’étais assis dans le jardin quand ce fait se produisit à mes yeux.

Le temps de me ressaisir, il avait déjà passé la crête. Je poussais ma curiosité un peu plus loin, je m’aventurai derrière la maison pour analyser ce phénomène et à ma grande surprise, je remarquai qu’à chaque fois la boite avançait.

Il y avait deux petites pattes qui apparaissaient, c’était tout simplement un petit chat qui était sous cette boite.

Il était temps de partir car l’heure de la reprise du boulot n’était pas loin.

En arrivant au travail, je racontais mon histoire aux collègues et quelle ne furent pas les remarques moqueuses qui m’ont été lancées, que j’ai du détalé, pissé dans mon slip, tremblant comme une feuille. Il y en a même qui ont poussé un peu plus loin à dire que je vois un cardiologue car le cœur a du recevoir un bon coup, il doit rester qu’un fil.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre et soudain, les moqueurs qui étaient autour de moi, captivés par la rigolade, ont été surpris et tous un geste de détalement. Là, j’ai pu renverser la situation et, à mon tour, j’ai rendu la pareille en leur disant que « les gars, vous n’êtes pas plus braves que vous pensez le faire croire ».C’est à ce moment  qu’une merveilleuse créature apparut au bout de l’atelier . Tous captivés, on se demandait et on essayait de voir qui c’était.

Au fur et à mesure qu’elle se rapprochait, la démystification sa faisait. Un petit logo, Facom, sur sa chemise. On a tout de suite compris qui et pourquoi elle était à l’atelier, elle se rendait direct au magasin, un petit salut discret à son passage vu tous les regards penchés sur elle.

C’était beau et vraiment inespéré :une fois j’ai été sauvé par le bruit, une autre fois, ils l’ont été par cette créature. Dans un soulage de rire, on peut dire « et tout est bien qui finit bien ».

L’habit ne fait pas le tigre

Il était une fois un tigre qui miaulait devant la cheminée.

Le malheureux tigre avait un énorme chagrin, il ne pouvait plus rugir, il miaulait comme un chaton.

« Quelle honte, se disait-il, moi qui suis un animal féroce, comment vais-je être perçu ?

C’est alors que son ami le lion arriva chez lui. « Dis-moi, le tigre, on ne t evoit plus gambader et chasser en jungle, que t’arrive t-il ?

Miaou, répondit le tigre, je n’ai plus de voix rugissante ».

Il fallait se mettre en quête d’une solution, le lion eu une idée géniale :

« Dis-moi le tigre, il faudrait te teindre les poils en noir, et là, tu te frais passer pour un gros chat noir, et tu vas pouvoir sortir de chez toi. »

Le tigre accepta. Quelques heures après, il décida de sortir prendre l’air, tout de noir vêtu, il se dit : « tiens, j’ai une petite faim ».

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre, c’était le puissant rugissement de son ami le lion ; le tigre poussa un soupir, un jour, moi aussi, ma voix portera dans toute la jungle.

Une merveilleuse créature apparut, appétissante pour notre ami le tigre, c’était un faon le repas attendu, le tigre s’en léchait déjà les babines.

C’était beau et vraiment inespéré, il bondit sur sa proie en poussant un miaulement, Miaou !! Et là, le faon poussa un éclat de rire, mais dit « Mais le gros chat noir, je n’ai pas envie de m’amuser avec toi, vas plutôt manger tes croquettes à la maison ».

C’est ainsi que notre tigre devint un gros chat domestique, passant des heures à dormir devant la cheminée. Et tout est bien qui finit bien.

Le cheval et sa monture

Il était une fois un cheval qui contenait des galettes au beurre sur sa monture .

Il grimpait une montagne pour aller au village voisin. Son cavalier voulait vendre ses galettes pour la chandeleur. Ainsi fait, il était temps de partir car à l’horizon, de gros nuages apparaissaient, noircissant le ciel.

Le cavalier prit sa monture et descendit à vive allure la plaine pour rejoindre le chemin.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre. Des éclairs retentissaient, grondaient. Le cheval effrayé prit peur, fit tomber le cavalier et s’enfuit, laissant celui-ci sur place.

Soudain, une merveilleuse créature apparut : « Bonjour, dit-elle, vous êtes blessé ? Puis-je vous aider ? »

Le cavalier, un peu choqué, se releva et fut ébloui par cette merveilleuse beauté.

« Oui, dit-il ». C’était beau et vraiment inespéré. Devant lui se tenait une jeune fille munie d’une voiture. Sauvé, il pouvait espérer récupérer son cheval et rentrer chez lui. Et pour la remercier, l’inviter à prendre un verre et manger des galettes. Et tout est bien qui finit bien.

Le papillon dans le monde entier

Il était une fois un papillon qui parcourait la campagne, qui mangeait des insectes, qui allait sur les fleurs, qui volait et s’envolait dans la nature.

Il était temps de partir dans les pays chauds et loin, et traverser les océans, les mers, les lacs, les rivières, les prairies, les champs, les savanes.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre de loin, peut-être de près, d’un arbre, d’un palmier, d’en haut d’un baobab, sur un continent, dans un petit pays ou grand.

Une merveilleuse créature apparut, le crocodile, un serpent, une girafe, une poule, un zèbre, un cheval qui se trouvait dans la région.

C’était beau et vraiment inespéré mais grand, grandiose, super émouvant, sublime, génial, émerveillé.

Et tout est bien qui finit bien, plus de danger.

L’imaginaire de Jack

Il était une fois une souris qui galopait sur son cheval à vive allure. Il fallait faire vite car les chevaliers au service du roi étaient à sa poursuite.

Jack, cherchait à échapper à une horde de chevaliers il était accusé d’avoir volé dans la chambre fromagère du château douze caisses de gruyère.

Quelques heures auparavant. Lorsqu’il se fît surprendre, Jack comprit vite qu’il était temps de partir.

Il revivait la scène tout en galopant. Comment Jack pouvait-il s’être retrouvé dans cette situation de fuite alors que le matin même, il se rendait au château afin d’y proposer ses services de gardien,

Peu à peu, les souvenirs revenaient. Jack se sentit porté comme dans un tourbillon et, autour de lui, tout se transforma : la lumière se fit plus discrète, les sons devinrent plus sourds.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre !

Jack se rendit compte qu’il était en train de s’évanouir mais son fidèle cheval, sentant le corps glisser sur la  scelle, venait d’éternuer si violemment que la terre en trembla presque.

Jack avait repris les esprits juste avant que les chevaliers n’arrivent à sa hauteur. Il accéléra et une fois dans les bois, prit un raccourci que peu de gens connaissaient. Caché derrière un buisson, il entendit passer les chevaliers et s’éloigner le bruit des sabots de leurs montures.

Soudain, une merveilleuse créature apparut. C’était comme dans un rêve, Jack n’en croyait pas ses yeux.

Elle était là, devant lui, comme venue de nulle part. Il était impossible pour Jack de dire de quelle espèce il s’agissait. Il était tout simplement submergé par l’émotion provoquée parce qu’il avait sous les yeux.

C’était beau te vraiment inespéré car jamais dans sa vie il n’avait vu telle douceur. Tout autour de lui avait changé.

Après le tumulte de sa course poursuite folle, il se trouvait à présent dans un pré, baigné du soleil et du chant des oiseaux.

Même sa fière monture s’abreuvait tranquillement dans l’étang. Tout était calme et paisible.

Jack se dit que cela avait forcément quelque chose à voir avec cette merveilleuse créature qui était apparu comme par enchantement. Ce n’était pas un hasard selon lui. Il décida alors de s’en approcher pour tenter de rentrer en contact avec elle. Au moment où il posa sa main sur elle, le ciel s’assombrit, le tonnerre gronda et la fameuse créature se transforma en chose horrible avec des tentacules immenses qui commençaient à se refermer autour du corps de Jack. Il tenta de s’en défaire quand, tout à coup, il se rendit compte que le chant des oiseaux s’était transformé en sirène hurlante. Jack ouvrit les yeux dans un sursaut, tout en sueur, tourna la tête et s’aperçut qu’il était dans son lit.

Il souffla et se mit à rire en se moquant de lui-même et du rêve qu’il venait de faire. Un rêve, un simple mauvais rêve. Jack se dit qu’il préférait ceci et que tout est bien qui finit bien.

Le vol de l’homme

Il était une fois un vieil homme qui volait de fleur en fleur.

Depuis tout petit, il n’avait qu’une idée en tête : voler, voler, voler !

Il avait lu des manuscrits parlant de la construction d’ailes, des sauts que faisaient les hommes qui les essayaient.

Jamais il ne s’était marié car il était égoïste, intransigeant, sûr de lui, méprisant.

Pourtant, c’était un athlétique et beau jeune homme, très fortuné, n’ayant pas besoin de travailler pour vivre.

A quarante ans, il fut temps de partir, courir le monde pour trouver de nouveaux moyens de voler, grimper aux sommets des montagnes, et se jeter pour voler tel un oiseau majestueux, tel était son combat.

Au retour de son périple, ayant puisé des idées à droite, à gauche, il se fabriqua des ailes légères et délicates. Mais rien n’y fit, il tombait et déchirait ses précieuses ailes.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre dans sa tête. Pourquoi ne pas aller voir un sage qui l’aiderait dans son entreprise ?

Muni de son bâton de pèlerin, et de quelque argent, il prit la route, tout en continuant de prendre des notes sur la façon qu’avait les différentes espèces de voler.

Au détour d’un chemin, une merveilleuse créature apparut : « où vas-tu brave homme ? lui demanda t-elle, ne veux tu pas t’arrêter et partager ma nourriture ?

-Tu es très belle, mais mon temps est trop précieux pour me permettre de flâner en route et de te parler ».

Il reprit son chemin, le cœur  plein d’espoir car la créature lui lança : « tu arriveras à ce que tu veux, un jour, persévères, brave homme ! ».

C’était beau et vraiment inespéré, il gravit des monts, franchit des rivières, descendit des cols abrupts, rencontra toute sorte de gens, qui, au fil des jours, l’accueillirent avec enthousiasme et bonne humeur. Il partageait leurs peines, leurs joies.

Quand il revint chez lui, il ne savait pas voler mais il connaissait beaucoup de peuples, avait appris l’humilité, le partage, l’amour de son prochain.

C’était devenu un vieil homme, un inconnu frappa à sa porte, muni de poulie, de courroie, de cordes. Il fit une installation dans le verger du vieil homme et ainsi, celui-ci put enfin voler de fleur en fleur, heureux. Et tout est bien qui finit bien.

Chant-Song

Il était une fois un chanteur qui mangeait de l’orge. Mais cela n’est qu’une expression. En réalité, il avait mangé son pain blanc, comme l’on dit, car les premiers succès passés, sa popularité commençait à en prendre un sacré coup.

En effet, la mode évoluant vite, les musiques aussi, il n’arrivait pas à retrouver la mélodie qui aurait pu de nouveau le faire sortir du rang.

Les gens de sa profession le savaient bien et à chaque concert, il se rendait comte que la foule était plus réticente, les applaudissements plus faibles.

L’orge se transformait en caillou, et bien qu’ayant la dent dure avec l’expérience, il ne produisait plus rien qui soit bien original.

En un mot, il n’était plus à la mode.

Il fallait se mettre en quête d’autre chose, envisager une transformation radicale de sa pensée, de ses pensées. Changer de look peut-être, il en avait les moyens avec les gens qu’il connaissait et qui l’entouraient. Vingt ans sous les projecteurs, ça crée des liens malgré les difficultés du métier.

Ses tempes grisonnantes lui donnaient du charme, mais il ne se voyait pas du tout se déhancher. Il ne l’avait jamais fait d’ailleurs ou jeter sa chemise à la foule.

Les mots l’avaient sauvé jusqu’à présent, pourquoi alors ne pas continuer avec son propre style, en apportant un peu de piment dans sa musique, un autre son ?

Même s’il avait le rythme, il ne savait pas écrire la musique et ne jouait d’aucun instrument.

C’est alors qu’un grand bruit se fit entendre. Il n’interrompit pas son tour de chant. Depuis le temps qu’il chantait, il « maîtrisait », habitué parfois au bruit de la foule et parfois à quelques cris vite étouffés par sa voix charmeuse. Et il en abusait presque.

Mais ce bruit au milieu de l’orchestre, un projecteur qui tombait peut-être, soudain, faisait naître en lui d’autres sonorités.

Ça y’est, bon sang. Les Tam-tam de l’Afrique résonnaient en lui.

Une merveilleuse créature apparut brutalement en lui pendant qu’il continuait à chanter presque par routine.

Oui ! Une danseuse à la peau d’ébène. Voilà ce qu’il lui fallait pour  l’accompagner,  à ses cotés, toute proche, les pieds nus.

Et ce refrain insipide qu’il répétait à longueur d’années, au fil de ses galas, il l’imaginait déjà sur un rythme plus syncopé, plus chaloupé, en un mot plus sensuel .

C’était beau et vraiment inespéré. Ce bruit, cette chute révélatrice. Les jeunes avaient besoin de rythme d’exotisme, peut-être aussi que ses fans plus âgés apprécieraient.

A moi l’Afrique, en ces temps d’échange, du respect de l’autre, des différences.

Tout en finissant son concert, dans sa tête se mettait en place ses nouvelles musiques avec les mêmes textes, bien sûr, puisqu’ils étaient de lui. Mais déjà la danseuse sortait des coulisses, les pieds nus, près de lui.

Il serait à nouveau nègre blanc. Le rideau tomba sous les applaudissements, et, tout en saluant son public, il se dit : tout est bien qui finit bien.

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